I – Informations générales.
Nom : Winters
Prénom : Abigaïl ( Aby )
Sexe : Féminin
Age : 33 ans
Date et lieu de Naissance : 26 juin 1974
Situation maritale/matrimoniale : Célibataire
II – Informations sur le Physique.
Description physique :
Avec son 1m 70 et 60 kilos, Abigaïl Winters n’a pas vraiment à se plaindre de sa silhouette. Ses cheveux blonds, bien que très longs, sont toujours attachés en chignon et ce, depuis la fin de ses études, si bien que seuls ses amis d’enfance peuvent s’en faire une idée. Elle tient ses yeux vert-de-gris de son père qui ont la particularité d’avoir une tâche marron autour de l’iris qui disparaît lorsque elle est fatiguée. Mais tenant une hypermétropie aigue de sa mère, elle est obligée de porter des lunettes pour travailler. Sur le plan vestimentaire, encore une fois, Abigaïl préfère cent fois le pratique à l’esthétique mais porte généralement des vêtements larges ou longs principalement pendant ses heures de travail bien que ce ne soit surtout que dans le but de cacher les trois tatouages qu’elle a, que ce soit le motif de phénix blanc, rouge sang et or entre ses omoplates s’étendant sur tout le long de sa colonne vertébrale et de ses épaules que les deux petits renards blanc et argentés de chaque coté de ses hanches.
Description psychologique :
Autrefois considérée comme l’éternel rat de bibliothèque, Abigaïl s’est promis à la fin de ses études de ne plus jamais se laisser marcher sur les pieds par qui que ce soit. Élevée par son père, ancien inspecteur de police reconverti en détective privé dans le but de mieux s’occuper d’elle. Ne venant pas d’un milieu aisé et donc étant loin d’avoir grandi dans des endroits sécurisés, elle a donc appris à devenir maître dans le domaine de la rhétorique et du sarcasme. La pratique s’ancrant dans ses réflexes, cela devient une constante chez elle, surtout quand elle a quelqu’un qui réussit à s’inscrire dans sa liste noire.
3 qualités : Loyale, honnête (directe) et sérieuse dans son travail.
3 défauts : Sarcastique (virant au cynisme sadique quelques fois mais uniquement quand on la cherche de trop…), très têtue et quelque peu casanière sur les bords (elle préfère lire des tonnes de bouquins et s’occuper de ses trois chats et de son canari).
Aime : Son travail passe en premier lieu. Dans ses temps libres, ses occupations résident à s’occuper de ses trois chats, des plantes vertes qui ornent le salon et la salle de bain de son appartement. Coté relationnel, elle apprécie les personnes qui cherchent à aider les autres sans en attendre forcément un gain au retour, de même que celles qui s’avèrent discrètes. Mais rien de tel qu’une bonne chamaillerie de temps en temps pour entretenir les rares amitiés qu’elle se fait. Une des qualités qu’elle apprécie néanmoins beaucoup est la franchise c'est-à-dire que la personne en question qui ait quelque que chose à dire à son sujet le lui dise en face, que ces propos soient bons ou mauvais.
N'aime pas : Abigaïl déteste par-dessus tout quand quelqu’un se montre arrogant ou se moque de la situation des autres, surtout quand ces derniers font partis des gens qu’elle apprécie.
III – Seattle Grace.
Poste dans l’hôpital : Résidente
Groupe : Résidente
Spécialité :
Histoire personnelle :
Abigaïl Winters est née d’un père français et d’une mère américaine, le 26 juin 1974 en France. Mais quelques mois après sa naissance, sa mère décède d’une pneumonie. Son père, Max Winters, dans le but de s’occuper d’elle, démissionne de la police où il travaillait comme inspecteur pour se reconvertir à son compte en tant que détective privé. « Aby » a donc grandi dans des conditions assez modestes mais tout en restant dans l’idée que le seul moyen de pouvoir s’en sortir dans la vie en passait forcément par réussir à s’en sortir dans les études. Cependant, le stress des études et la peur de ne pas réussir se joignant aux problèmes causés par la santé et les affaires ratées de son père, Abigaïl est rapidement entrée dans l’obésité à l’âge de 15 ans. Ne s’en souciant guère, elle continue à enchaîner les études en travaillant d’arrache pieds tout en alternant plusieurs traitements pour la mémoire et le poids à la fois et en enchaînant les nuits blanches à étudier… Jusqu’à en tomber d’épuisement cinq ans plus tard. Elle en frôle la mort de justesse en faisant un arrêt cardiaque, ce qui va la plonger pendant des mois dans un état à la limite de la léthargie. Conseillé vivement par les médecins qui la suivent, son père va ainsi signer l’accord pour qu’elle se fasse opérer en urgence. Quelques mois et rééducations plus tard, Abigaïl sort finalement de l’hôpital mais portant plusieurs petites cicatrices, principalement dans le dos et sur ses hanches. Mais cet accident lui a ouvert les yeux sur autre chose : elle a failli mourir et ne peut donc s’en prendre qu’à elle-même, ce qu’elle considère comme un échec personnel et qui va la déterminer à faire en sorte que cela ne se reproduise plus. Sans compter qu’elle-même n’avait pas cessé de voir des chariots de métal transportant les morts à leur avant dernier lieu de repos. C’est ainsi qu’elle reprit ses études une nouvelle fois, passa le concours d’entrée de la faculté de médecine de Lyon et son examen final dans les quinze premiers. Par la suite, Abigaïl est retournée dans sa ville natale et a longtemps travaillé dans l’un des hôpitaux d’Orléans, où son père a fini les dernières années de sa vie et est décédé trois mois avant les 33 ans de la jeune femme. Ne pouvant plus rester dans cet hôpital et ayant besoin de changer d’air, Abigaïl s’est ainsi exilée en Amérique où elle a obtenu une carte de résidente grâce à la nationalité de sa mère. Mais ce n’est qu’après plusieurs postulats qu’elle sera finalement engagée comme résidente auprès de Seattle Grace Hospital.
Objectifs professionnels : Gravir les échelons jusqu'à diriger un jour son propre hôpital mais avant tout faire de son mieux pour être un bon médecin.